Silences en Forêt sur RCF

Interview sur RCF de Marie-France Clerc pour son second roman « Silences en Forêt: un enfant de la guerre », où, au fil d’une enquête sur un secret de famille, se mêlent à nouveau histoire familiale intime et Grande histoire.

Écoutez l’émission du 25 janvier 2019 « Des livres et Vous » (15 min)

 

4 réflexions au sujet de « Silences en Forêt sur RCF »

  1. Après « Cinq zinnias pour mon inconnu », Marie-France Clerc publie une deuxième roman très réussi. De tous les événements tragiques qui ont affecté les membres de sa famille, cette auteure tire de magnifiques livres. Peut-être est-ce son secret de fabrique pour donner à ces récits passionnants un ton si authentique ? Dans  » Silence en forêt », l’auteure traque un secret de famille et nous emmène dans les landes à travers les années. Elle mène son récit comme un enquête, ce qui le rend passionnant. Elle nous fait aussi découvrir cette région, ses habitants et leur mode de vie à sa façon particulière et avec elle on s’interroge, mais pourquoi ? Les personnages qu’elle décrit sont terriblement humains et tout y est exposé avec une infinie pudeur. J’aime et je recommande…

    J’aime

  2. J’ai beaucoup apprécié « cinq zinnias pour mon inconnu », l’histoire en elle-même, et la façon de la raconter, juste émouvante, subtile.
    J’aime bien le parti pris, Natalie qui prend une semaine de vacances seule avec ses petits enfants, avec ce va-et-vient entre les tâches du quotidien et les souvenirs qui affleurent, les mails de son amie ukrainienne qui effectue des recherches, ses propres recherches, et toujours ce questionnement sur ses parents, cette souffrance de l’âme…
    Oui, très beau livre.
    J’y retrouve ce que dit Grégoire, mon Cosaque, de qui j’écris les mémoires, ce que j’ai lu aussi de mon côté dans d’autres livres, mais également au travers de mes recherches.
    L’Ukraine porte une douleur, et cela depuis la nuit des temps, une douleur que, nous, occidentaux n’imaginons pas, ni dans son intensité, ni dans ce poids que cela représente collectivement.
    Il faudra encore beaucoup de générations et d’apaisement politique pour que ces souffrances s’éloignent du peuple. Cela passera par l’ouverture des archives tant nationales que familiales…

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